En Cassation ça passe ou ça casse. Ça peut surtout casser les reins de celui qui se pourvoit dans cette démarche. Certains disent que quand on prend une chaise, il faut casser sa tirelire, s’ils chaussent leurs grosses lunettes il faut faire un tour à la Caisse d’Epargne et casser ses noisettes. Que si on veut revenir en deuxième semaine, il vaut mieux se casser une jambe. Que celui qui insiste est un casse-cou. Mais ça, ce sont uniquement les rumeurs de ceux qui se sont « cassés » en découvrant les dorures des lieux.
Ma question, toute simple, est la suivante : « Notre maire s’est pourvu en Cassation le 20 avril2015, non pas pour une affaire de meurtre, même politique, ni pour le casse du siècle, mais parce qu’il ne se résignait pas à avoir perdu deux fois contre moi sur ce tract où les « mauvaises habitudes » qu’il avait prises, avaient été dévoilées. Il aurait retiré son pourvoi en Cassation discrètement il y a une semaine. Est-ce :
- parce que c’était un enfer pour le portefeuille ?
- parce que seuls 60 avocats hyper-spécialistes des affaires concernant le Conseil d’Etat s’occupent de cette chambre et qu’avec les affaires de terrorisme, d’Outreau, de meurtres ils ont des priorités ?
- parce que le dossier léger pour ne pas dire aérien a été jugé non recevable ? »
Je serais très heureux d’accueillir notre maire dans nos bureaux pour répondre ou débattre, discuter. Sans avocat (nous sommes grands), sans les 24 Conseillers municipaux comme tuteurs (certains aiment bien le 25 contre 1, mais je suis sûr pas notre maire), sans Le micro à disposition du chef et sans logorrhée (discours fleuve à la Castro, où personne ne sait plus ce que le « Commandante » voulait dire).
Je vous informe dès que j’ai la date.